Notre histoire

L’histoire de Coludang, se traduisant par « nid » dans le dialecte local, est celle d’une famille originaire de Qeshm, qui comme l’on construit son nid, a construit, brindille par brindille, un petit business familial devenu aujourd’hui un acteur incontournable du tourisme sur l’île.

 

Notre histoire

L’histoire de Coludang, se traduisant par « nid » dans le dialecte local, est celle d’une famille originaire de Qeshm, qui comme l’on construit son nid, a construit, brindille par brindille, un petit business familial devenu aujourd’hui un acteur incontournable du tourisme sur l’île.

 

Mais Coludang, c’est avant tout une famille : la famille Tata. La matriarche, Maman Fatemeh, a donné à Baba Habib trois fils – Nooradin, Saddredin et Mahnoor – et deux filles – Ameneh et Niloofar. Depuis, la famille s’est agrandie au gré des mariages et des naissances, mais ceci est une autre histoire…

Il y a environ une dizaine d’années, l’île n’accueillait qu’une poignée de touristes, principalement attirés par la perspective de faire du shopping dans les nombreux centres commerciaux de Qeshm et Dargahan. À l’époque, il n’y avait que peu d’activités permettant de gagner sa vie, et Nooradin, le fils aîné, les a à peu près toutes essayées : aller en mer et vendre du poisson, travailler dans des carrières, conduire des camions et même se livrer à la contrebande – une façon dangereuse, mais hélas commune, de gagner sa vie à cette époque…

Tout a commencé autour d’un repas…

Et puis un jour, Nooradin entrevoit une opportunité qu’il s’empresse de saisir : des touristes cherchent un cadre agréable où déjeuner et découvrir la cuisine locale. Connaissant le talent de sa belle-mère en matière de nourriture, le duo commence à servir des repas dans le village : tout d’abord dans une palmeraie, puis très vite, au sein de la maison familiale. Et c’est ainsi que la famille Tata fit ses premiers pas dans le monde du tourisme.

Deux ans s’écoulent et Nooradin se rend à Yazd pour quelques jours, lorsqu’il fait la rencontre d’un guide touristique. Il lui raconte son histoire et l’activité de sa famille à Qeshm. De retour chez lui quelques jours plus tard, Nooradin reçoit un appel téléphonique du même homme : « Un voyageur belge arrive à Qeshm et a besoin d’un endroit où passer la nuit. Peux-tu faire quelque chose ? »

Sans hésiter, Nooradin accepte et transforme la pièce construite pour servir le déjeuner en ce qui deviendra la toute première chambre d’hôte de Coludang : Koghar.

Tout a commencé autour d’un repas…

Et puis un jour, Nooradin entrevoit une opportunité qu’il s’empresse de saisir : des touristes cherchent un cadre agréable où déjeuner et découvrir la cuisine locale. Connaissant le talent de sa belle-mère en matière de nourriture, le duo commence à servir des repas dans le village : tout d’abord dans une palmeraie, puis très vite, au sein de la maison familiale. Et c’est ainsi que la famille Tata fit ses premiers pas dans le monde du tourisme.

Deux ans s’écoulent et Nooradin se rend à Yazd pour quelques jours, lorsqu’il fait la rencontre d’un guide touristique. Il lui raconte son histoire et l’activité de sa famille à Qeshm. De retour chez lui quelques jours plus tard, Nooradin reçoit un appel téléphonique du même homme : « Un voyageur belge arrive à Qeshm et a besoin d’un endroit où passer la nuit. Peux-tu faire quelque chose ? »

Sans hésiter, Nooradin accepte et transforme la pièce construite pour servir le déjeuner en ce qui deviendra la toute première chambre d’hôte de Coludang : Koghar.

…pour devenir l’une des premières maisons d’hôtes de Qeshm

Ce voyageur belge allait marquer une nouvelle étape décisive dans l’histoire de Coludang. Avec sa barbe blonde et ses lunettes rondes, il apporta avec lui tout un tas d’idées nouvelles à partager avec Nooradin – les applications de traduction en ligne permettant aux deux hommes de communiquer.

Le voyageur belge parle à Nooradin de tourisme, de la façon dont celui-ci peut améliorer la vie des populations locales, et lui parle d’un concept qui n’avait jusqu’alors pas fait son chemin à Qeshm : celui des maisons d’hôtes.

Après quelques jours à Coludang, le voyageur repris sa route mais non sans avoir posé les fondations de ce qu’allait devenir Coludang. Tout d’abord, en laissant un premier avis sur TripAdvisor et WikiTravel, permettant à d’autres voyageurs de trouver à leur tour le chemin de Coludang. Mais surtout, en faisant germer dans l’esprit de Nooradin une toute nouvelle idée : ouvrir une maison d’hôtes.

Aussi naturellement que cela, alors que les visiteurs étrangers se succèdent à Qeshm, des chambres sont petit à petit ajoutées à Coludang, donnant progressivement au « nid » la chaleureuse aura qu’il possède aujourd’hui.

…pour devenir l’une des premières maisons d’hôtes de Qeshm

Ce voyageur belge allait marquer une nouvelle étape décisive dans l’histoire de Coludang. Avec sa barbe blonde et ses lunettes rondes, il apporta avec lui tout un tas d’idées nouvelles à partager avec Nooradin – les applications de traduction en ligne permettant aux deux hommes de communiquer.

Le voyageur belge parle à Nooradin de tourisme, de la façon dont celui-ci peut améliorer la vie des populations locales, et lui parle d’un concept qui n’avait jusqu’alors pas fait son chemin à Qeshm : celui des maisons d’hôtes.

Après quelques jours à Coludang, le voyageur repris sa route mais non sans avoir posé les fondations de ce qu’allait devenir Coludang. Tout d’abord, en laissant un premier avis sur TripAdvisor et WikiTravel, permettant à d’autres voyageurs de trouver à leur tour le chemin de Coludang. Mais surtout, en faisant germer dans l’esprit de Nooradin une toute nouvelle idée : ouvrir une maison d’hôtes.

Aussi naturellement que cela, alors que les visiteurs étrangers se succèdent à Qeshm, des chambres sont petit à petit ajoutées à Coludang, donnant progressivement au « nid » la chaleureuse aura qu’il possède aujourd’hui.

Calm Waters et Bagap : les derniers nés de Coludang

Au fil des années, Coludang est rapidement passé d’une modeste maison d’hôtes en un groupe hôtelier et touristique possédant deux résidences et un centre d’activités nautiques.

Ainsi, en 2019, le centre nautique de Coludang, Calm Waters, a ouvert ses portes sur la jetée de Dehkhoda, au cœur de la mangrove de Qeshm. Les voyageurs peuvent y explorer l’incroyable écosystème de la mangrove tout en profitant de diverses activités telles que le StandUp Paddle (SUP).

Trois ans plus tard, en 2022, Coludang a subi plusieurs rénovations visant à améliorer la qualité de services. En autre, les matelas de sols traditionnels ont laissé place à des lits pour offrir plus de confort aux voyageurs.

La même année, un nouveau projet a également vu le jour : « Bagap ». En seulement un mois de travail acharné, quelques semaines avant le début de la haute saison, l’ancienne maison du défunt père de Maman Fatemeh a été transformée en une résidence saisonnière. Bagap, qui signifie « grand-père » dans le dialecte local, est ainsi devenue l’un des premiers hébergements saisonniers privés de l’île de Qeshm. Une maison qui a su préserver son âme traditionnelle tout en y ajoutant une pointe de modernité et de confort.

Calm Waters et Bagap : les derniers nés de Coludang

Au fil des années, Coludang est rapidement passé d’une modeste maison d’hôtes en un groupe hôtelier et touristique possédant deux résidences et un centre d’activités nautiques.

Ainsi, en 2019, le centre nautique de Coludang, Calm Waters, a ouvert ses portes sur la jetée de Dehkhoda, au cœur de la mangrove de Qeshm. Les voyageurs peuvent y explorer l’incroyable écosystème de la mangrove tout en profitant de diverses activités telles que le StandUp Paddle (SUP).

Trois ans plus tard, en 2022, Coludang a subi plusieurs rénovations visant à améliorer la qualité de services. En autre, les matelas de sols traditionnels ont laissé place à des lits pour offrir plus de confort aux voyageurs.

La même année, un nouveau projet a également vu le jour : « Bagap ». En seulement un mois de travail acharné, quelques semaines avant le début de la haute saison, l’ancienne maison du défunt père de Maman Fatemeh a été transformée en une résidence saisonnière. Bagap, qui signifie « grand-père » dans le dialecte local, est ainsi devenue l’un des premiers hébergements saisonniers privés de l’île de Qeshm. Une maison qui a su préserver son âme traditionnelle tout en y ajoutant une pointe de modernité et de confort.

Aujourd’hui, le groupe Coludang offre un emploi à temps plein et un salaire à 20 personnes, dont beaucoup portent fièrement le nom de « Tata ». Une réalisation qui correspond au souhait originel de son fondateur de permettre à sa famille, et aux personnes de son village, d’avoir les moyens de se bâtir un futur plein de promesses.

En outre, ces dernières années la famille Coludang s’est agrandie au-delà des frontières du village de Dehkhoda, accueillant de nouveaux membres venus des villages voisins et même d’autres pays.

Tous étant motivés par un rêve commun : promouvoir et préserver la culture de l’île Qeshm par le tourisme.

Aujourd’hui, le groupe Coludang offre un emploi à temps plein et un salaire à 20 personnes, dont beaucoup portent fièrement le nom de « Tata ». Une réalisation qui correspond au souhait originel de son fondateur de permettre à sa famille, et aux personnes de son village, d’avoir les moyens de se bâtir un futur plein de promesses.

En outre, ces dernières années la famille Coludang s’est agrandie au-delà des frontières du village de Dehkhoda, accueillant de nouveaux membres venus des villages voisins et même d’autres pays.

Tous étant motivés par un rêve commun : promouvoir et préserver la culture de l’île Qeshm par le tourisme.

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